Une autre vision individuelle responsable et harmonieuse de la réalité est constamment nécessaire.
C’est ce que prouvent beaucoup de channelings très réalistes et même scientifiques en provenances des hautes sphères cosmiques, et en particulier celles-ci :
– http://kryeon.forumactif.com/t219-kryeon-le-champ-partie-un-3-juillet-2016
– http://kryeon.forumactif.com/t222-kryeon-le-champ-partie-deux-7-aout-2016
Nous avons donc de grands changements plus NATURELS et SAINS à recréer, sans débat interminable creux et opposables comme le veulent trop d’élus mondiaux et locaux, plus en quête de leurs bulles de faux pouvoir égotique, que de chercher à régler les problèmes locaux et mondiaux.
IRRESPONSABILITÉ ONUSIENNE
Du fait simplement de son manque d’indépendance financière, l’ONU est frappée d’un virus schizophrénique bizarre, celui de l’irresponsabilité des représentants de ses états membres, plus préoccupés de l’intérêt irresponsable de leurs pays, que de leur indépendance effective et de l’intérêt commun mondial…!
L’énorme paradoxe de cette situation est uniquement lié à l’absence de BANQUE ONUSIENNE qui puisse battre monnaie indépendante des autres monnaies en vigueur !
C’est en cela qu’on peut parler d’irresponsabilité onusienne, car cet état de fait est le contre-exemple même de la pire des structures improductives organisationnelles qui n’ait jamais existé… Aucun autre organisme mondial n’a un tel empêchement à correctement fonctionner ! AUCUN !
Le comble est que cela déteint sur toute la diplomatie mondiale qui adopte le même comportement paranoïaque délirant. Notre monde n’est pas gouverné !§!
L’ONU devra rapidement prendre d’elle-même la responsabilité de créer sa monnaie, car sinon elle court à sa perte de crédibilité définitive, et le monde entier partira une fois de trop à veau l’eau, en déroute, comme il le fit pour les deux dernières guerres mondiales (sauf que, alors, sans risque d’anéantissement nucléaire…!).
Il n’y a pas d’autre solution, pas d’autre échappatoire !
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CELA MARCHE à L’ÉCHELLE LOCALE, ET DONC, DEVRAIT NOUS SAUVER LA MISE AU NIVEAU MONDIAL !
- http://www.lemonde.fr/chronique-des-communs/article/2017/01/31/les-monnaies-locales-leviers-de-la-transition-ecologique_5072101_5049504.html
- « GIVE DIRECTLY », une association bénévole américaine, est arrivée à monter un tel projet de financement raisonné au Kenya, grâce à une initiative personnelle d’anciens de Harvard… Mais de donner seulement 1100 euros en trois fois à des pauvres ne résout rien à long terme…!
- Il faut une action internationale durable, ne poussant pas les locaux à mal « finir » en ville.
- Alors, les plus grosses entreprises de la silicone Valley ont choisi de faire autrement, d’aider sur 12 ans des villages entiers avec une somme versée individuellement de 12 euros / mois ! (Reportage d’Arte)
Cette expérience ponctuelle au KENYA démontre que les locaux qui ont des possibilités d’emploi refusent d’être assistés…, et même certains pauvres de révèlent récalcitrants face à une telle aide inconditionnelle, tellement peu habitués par cette idée ! Du côté des plus pauvres, l’argent est le bienvenu, mais les aider pour le paysagisme arboré durable en les éduquant à retenir et absorber l’eau « en trop » ponctuellement, serait le mieux.
Car, en Afrique comme ailleurs…, les déserts seront certainement plus arrosés par des orages violents (http://www.insu.cnrs.fr/node/6437) et nécessiteront donc des mesures paysagistes élargies à plusieurs pays pour réduire les crues (dévastatrices en terme d’érosion de l’humus de surface) et les sécheresses consécutives, tout en donnant aux paysans de réels moyens pour lutter contre les moustiques et autres parasites… Mais, avec l’obligation pour eux de réduire leurs surpopulations galopantes !
MAROC VERT
Si cela fonctionne déjà au Maroc malgré le chômage urbain et sans cette monnaie mondiale, tous les autres pays arides le peuvent également, question d’organisation (https://www.youtube.com/watch?v=PlACg7bWPhY)
UN AUTRE PROJET SIMILAIRE FAIT SON APPARITION, DÉNOMMÉ « CROCUS »
Il cherche à définir une monnaie mondiale écologique sur l’énumération de quantité de biodiversité disponible, un peu comme celui de comptabilisation des consommations / échange de crédit d’absorption « carbone ». Nous confirmant que toute monnaie est question de conventions acceptées puis établies, et donc, que nous avons le choix de créer celle qui nous convient le mieux pour un avenir équilibré et durable ! Sans les excès spéculatifs insensés des bourses mondiales actuelles !
(Twitter @HELENE_NIVOIX ).
LA NÉCESSITÉ DE COMPTABILISER LA NATURE ENTRE L’ÉTAT ACTUEL ET CELUI REDEVENU IDÉAL !
Nous disposons d’outils très performants pour mesurer spatialement et comparer dans le temps les différences d’humidité (et donc de végétation suffisamment productrice de celle-ci) via les satellites, tel que celui du CNES (https://smos.cnes.fr/fr).
Cela semble plus facile et plus analysable aisément que de chercher à évaluer les variétés de végétations, elles innombrables et changeantes suivant les saisons, pour fixer des revenus locaux nécessaires.
Comme tout travail sain vis à vis de la nature, surtout ceux pénibles physiquement, mérite salaire (et plus que tout autre…, car hautement bénéfique pour nos santés et pour les systèmes sociaux de plus en plus coûteux !), il deviendra impératif d’énumérer, de comptabiliser les difficultés présentes sur les terrains arides afin d’évaluer les quantités de travail à y fournir, autant que les moyens humains matériels et mécaniques nécessaires.
Le but final étant le redressement paysagiste et thermique promu sur https://greenjillaroo.wordpress.com et sur https://agroforesteriejardin.wordpress.com.
Des critères précis sont déjà explicités pour toute transformation de matériaux en produits finis vers plus de valeur ajoutée, comme en toute activité commerciale…
LA NATURE NE PEUT EN ÊTRE ABSTRAITE ! Elle a un énorme rôle de survie du VIVANT et de l’humanité toute entière !§!
Ce rôle essentiel (notre corps est fait à 70% d’eau !) est trop souvent considéré comme « acquis », comme « allant de soi », à tort… ! Car le vivant est une couche fragile et peu épaisse des sols, de la biosphère, étroitement intriqué avec les échanges rapides de l’air et l’eau qui mérite tous nos soins et toute notre attention !
Un exemple de nos attitudes coutumières et traditions crues « innocentes » est l’habitude prise de débarrasser les fossés des bords de route de leurs herbes « envahissantes », avec le prétexte de les rendre lisses pour évacuer plus vite « l’eau prétendue en excès » ! Mais, cette vitesse d’écoulement dépassant les 100 fois celle d’absorption dans le sol (tout en emportant l’humus, si long à reconstituer) ! Il ne faut pas s’étonner d’avoir dès lors plein de crues et de sécheresses coûteuses en résultant au pire !
Dans l’hypothèse d’évaluation des paysages entre un état aride / désertifié, par rapport à l’élaboration d’Agroforesterie Paysagiste Retenue (que je sais thermiquement efficace), les critères peuvent être classés en différentes catégories :
– nature du sol à travailler (sable, terre meuble, cailloux, rocailles, rochers (à transformer en poussière seule à faire de l’humus…),
– état d’humidité de l’air en situations extrêmes (entre situations initiale et finale),
– risques de vents secs brûlant les végétaux liés à la topographie du terrain et à la situation globale environnante,
– type de plantations d’arbres et de cultures possibles (au départ, puis une fois le micro-climat local établi),
– travaux de remblaiement et de « talutage » (avec leur répartition en surface et suivant les pentes),
– travaux de terrassement et d’irrigation nécessaires, proximité de sources et de cours d’eau…
…, etc !
En conditions désertiques, pour que des replantations d’arbres et de couvertures végétales basses soient possibles…, c’est loin d’être évident, même quand il y a de l’eau en suffisance (source)…! L’évaporation, l’assèchement y est trop fort, trop rapide (sans parler des prédateurs qui mangent tout brin d’herbe ou plant d’arbre à feuilles tendres…).
En Tunisie, un reportage citait l’exemple d’un jardin avec source, clôturé de murs pour arrêter le vent sec du désert…, qui avait réussi d’abord en plantant des palmiers dattiers, puis ensuite au dessous des arbustes couvrant d’ombre diffuse les plantations potagères, elles-mêmes alors seulement à pouvoir tenir sans dessèchement ni trop d’arrosage…!
Au Maroc, à l’Est en un creux désertique étendu au sud d’Oujda, avec de l’eau affleurante à la saison des pluies, des courageux planteurs d’arbres ont réussi à faire de l’arboriculture (je n’ai plus leur coordonnées).
Dans le Gard, la bambouseraie Parafrance (près d’Alès) a réussi la plantation de bambous de toutes tailles dans un vallon, alors que cette région est très sèche l’été (mais à orages parfois violents l’hiver).
Les oasis ont à lutter contre l’avancée des dunes de sable, et ce n’est pas une mince affaire…!
Par contre, s’ils sont avec talus en vallons de rivière (comme l’oued Draa au Maroc, il y a possibilité d’avoir de l’eau sur deux à trois mois… (avec des crues conséquentes et d’énormes pertes d’humus…, si rien n’est retenus en terrasses étagées à talus arborés comme proposé (voir mes dessins techniques sur https://greenjillaroo.wordpress.com) !
La plantation d’acacias pour traverser le Sahara en bande verte de 15 km de large, à partir du Kenya au niveau du Sahel (zone subtropicale très peu arrosée en saison des pluies) semble réussir (bien que sans talus pour bloquer sur lace l’air humide…!).
Un chef de tribu Somalien avait réussi à replanter des arbrisseaux épineux à fruits, rien qu’en les mettant en godets de plastique avec un peu d’eau, puis l’arbuste par son feuillage alors capable de garder le sable humide au pied.
En une autre endroit montagnard très sec de Somalie, une tribu (conduite par un sage) a su conserver plein de gros vieux arbres bas genre « parasol » couvrant d’ombre ses terres cultivables, elles même étroitement entourées de talus, les arbres plantés tous les 5 à 8 m.
D’autre part, malheureusement, il sera très difficile de susciter à nouveau le travail manuel et des champs sans valorisation technique, tant l’humanité actuelle, les jeunes se font des illusions sur la sécurité attractive des villes et de la technologie, l’emploi n’y étant plus suffisant (sauf pour tenter d’y faire le clown…), véritable miroir aux alouettes non durable ni sain…!§!
De telles évaluations locales et plus globales précises devront être faites afin de permettre une équité totale pour la réfection de déforestation et de désertification.
A mon sens, une idée de revenu de base mondial ne peut être envisagée que sur la gestion étroite des populations, via les obligations :
INITIATIVES ou IDEES SIMILAIRES :